Les Echos De Sidi Bel Abbes

La direction de l’urbanisme et de la construction (D.U.C.) d’où le mystère d’une gestion douteuse plane.

Nous avons tenté de percer le mystère où plane le soupçon  des travaux d’aménagement urbain gérés par la Direction de L’Urbanisme et de la Construction (D.U.C.) décriés par les riverains.

 Nos reportages réalisés  à travers les différentes cités, à la suite de certaines déclarations des présidents d’associations des comités de quartiers (société civile) qui n’ont cessé de s’exprimer devant les autorités  de la ville ,la DUC encouragée par leur silence s’enfonce dans la médiocrité .

Les énormes facilités  que rencontrent ces gestionnaires à se concrétiser sur le terrain  d’une manière professionnelle,  sans tenir compte au respect des normes techniques ni aux prescriptions techniques et à leur application qualitatives et quantitatives de la majorité des projets lancés  par là et par ci ont provoqué l’ire des riverains et de la société civile dans l’indifférence la plus totale de la première magistrature de la ville de prendre accointance et veiller sur ces propriétés.

 

Nous avons été menés  par la curiosité de visiter les différents quartiers touchés par cette écœurante situation  tels que La cité  DUBAI  , celle des Frères ADNANE , les cités avoisinantes de la Bremer et de la Sorecor ,au nord de la ville (Sidi Djillali )où la catastrophe est présentée de visu  à  la cité des 422 logements travaux abandonnés les 100 logements Imama  (Gambetta)  le faubourg  Khelladi (PERRIN) ainsi que  la cité  26 Octobre (PON PERRI) qui demandent un attention d’analyse toute  particulière ,sans oublier  les lotissements abandonnés tels que les S – 2  S-3 et S- 5 délaissés depuis plus de vingt (20) années  livrés  à la nature dégradées.

 

Aujourd’hui dans la longue vie de cette série de navets à la mexicaine, les aberrations et les erreurs de toutes sortes s’accumulent ,on tombe sur l’amateurisme de plein pied sans qu’aucun correctif n’y soit porté , leur programme prévu au choix du bureau d’étude parfois incompétent qui leur convient à la manigance d’après le constat de  la qualité des travaux  et aux infractions techniques et même au choix des entreprises  qui sont loin  de refléter la compétence et la qualification professionnelle  êtres  au nombre sélectionné ceci leur permettra  de cerner leur fourbi , en outre  l’exigence de la direction des produits et matériaux  qui à  leurs tours posent des  interrogations  auxquelles  .

 

 il faudrait un jour demander des comptes à cette gestion anarchique masquée par  la marquage des réserves flagrantes ont indexées l’individualité et le rouage administratif  à l’exclusion de  la société civile qui depuis longtemps crie au risque,  d’une fuite en avant de certaines directions et qui en fin de compte engendre une situation d’aberration extrême où le citoyen se retrouve confronté a de graves soucis ,racolé d’ un complot qui dure jusqu’à l’heure actuelle de la part d’une chefferie qui s’obstine d’enlever les œillets  accordant le privilège  de l’écart des dépenses colossales engagées par l’Etat  pour  l’amélioration du cadre de vie des citoyens ,  ces travaux de pavage bâclés  les trottoirs et les seuils de maisons  aurons  pour conséquences  des extravagances  entraînant les dits projets en question à un fiasco  .

Ce sujet est argumenté  par le témoignage des habitants  et le constat de la dévastation des travaux..

Abbes.O