28 septembre 2024

Abdelkader Lalmi, l’artiste peintre, gravement malade

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L’artiste peintre  Abdelkader Lalmi , notre ami et l’ami de tout le monde  est extrêmement  malade, pour ne pas dire gravement atteint. Il est difficile de supporter cela, mais, il s’agit d’une réalité  dont l’on ne peut se défaire. Apprendre que l’ami artiste se défait, m’oblige à me révolter contre ce « statut de l’artiste » qui semble ne pas vouloir prendre naissance, afin de répondre aux petits besoins de santé qu’éprouve l’artiste. Et puis que font ces institutions qui  gèrent la culture et qui dépensent à milliard l’argent de l’artiste sans que celui-ci en jouisse dans ses moments de douleurs ?. Que font ces institutions, qui utilisent les artistes pour combler la fin de leurs factures ?. N’ont elles jamais su qu’au courant de cette année, combien furent ceux qui sur scène ont rejoint le Bon Dieu ? Combien furent ceux qui tombèrent malade sans que personne ne se rendent compte, qu’ils se trouvaient au bout du rouleau ?.


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Et voila qu’en la fraction d’une même  période, Abdelkader Lalmi   devient le deuxième de nos artistes  peintre, qui souffre atrocement dans la maladie sous l’indifférence caractérisée du monde pour lequel, il a tant donné. L’artiste- peintre, notre ami, se trouve  en un moment  où les arts plastique ont encore  besoin de son pinceau, dans un état que seul la Direction de la Culture, pourrait  intervenir afin qu’une prise en charge lui soit donnée en urgence. L’homme est atteint d’une maladie grave, extrêmement grave, ou le traitement semble ne pas exister ici en Algérie.

L’homme souffrant, occupe un lit  d’hôpital  sans être traité avec la médicamentation qui lui est appropriée. Il et attend dans l’inquiétude mais avec beaucoup d’honneur, un geste humain,, rien qu’un geste de bon sens, pour qu’on le sorte de l’état dans lequel il s’épuise. Abdelkader Lalmi c’est vous, c’est moi, , c’est nous tous,  c’est tout le monde, qui pourraient se réveiller du jour au lendemain , dans cette situation ou le dernier secours doit s’exprimer au même titre que tous ceux qui sont des artistes, médiatisés, malheureusement Abdelkader Lalmi figure parmi ceux qui travaillent dans l’ombre voulu d’un art encore  voguant dans le monde de l’inconnu et de l’indifférence. Un peintre choisit-il  son  métier ou le métier s’impose-t-il à lui ? Abdelkader Lalmi aurait sans nul doute, opté pour la deuxième proposition.

GEDSC DIGITAL CAMERAAlors que tout s’annonçait bien pour lui, dans sa vie dans son art, il tombe  un jour  auquel il ne s’attendait pas
dans la maladie et plongeait  au fur et à mesure dans une douloureuse situation, que personne à part lui ne peut comprendre. Et lorsque nous lui posions la question, comment il se sentait ?- Il répondait avec un grand sourire et plein d’anecdote : « je me sens bien, quelques faiblesse, mais je suis bien et puis qui va mieux que moi ? ajoutait-il dans un rire sincère mais maladif

Nous rappellerons douloureusement qu’Il participait  à l’élaboration de plusieurs fresques,  à Sidi bel abbès, et au long des années, nous, découvriront son talent exceptionnel Abdelkader Lalmi  a participé à plusieurs expositions tant collectives qu’individuelles à Sidi bel abbès et dans d’autres Wilayas sous le parrainage  de la Direction de la Culture et de l’Association El Basma. Il se vouait ses dernières années à un style, qu’on lui reconnaissait à travers les miniatures qu’il se plaisait à peindre.Abdelkader Lalmi est malade, et a besoin à se que les autorités lui accorde une prise en charge.

K.Benkhelouf.

 

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