mar. Jan 9th, 2024

La démolition de la SARL « TUFNA »: une opération achevée dans un contexte inachevé.

121 Effectivement ce qui c’est passé aujourd’hui est une prise de décision ferme prise au niveau de l’Assemblée Populaire Communale (A.P.C) de Sidi Bel Abbes par un arrêté de démolition de tous les locaux et de mise en fourrière des matériaux de construction exposés à la vente au niveau du lot de terrain exploité par la SARL TUFNA  situé à la limite du nouveau P.D.A.U.

L’opération menée en grande force par des moyens  123matériels de la commune, assistée par les services de sécurité qui ont suivi cette opération de près en dépit de toutes les entraves causées par l’occupante afin de s’opposer à l’action pour vider les lieux, touchant même au mur de clôture de sécurité érigé par le propriétaire de la station d’essence « Souasse » sans aucune pièce justificative délivrée par les services du cadastre (plan de situation).

Cette situation mystérieuse qui dure depuis l’an 2004 a mis à nu de graves dysfonctionnements, une fois de plus, au sien des administrations locales censées de conserver le patrimoine de la wilaya du bradage et ce n’est qu’au jour de la restitution du bien communal que certaines vérités se sont apparues au grand jour.

108 C’est en réalité qu’à partir d’une instruction ferme de l’actuel chef de l’exécutif de mettre fin à de pareilles situations d’irrégularités administratives, quitte à user de la justice pour récupérer les assiettes foncières qui ont été détournées bien avant telle que l’affaire du boulevard 135 d’excellence, celle des lots de la zone industrielle (affaire Labdelli et Berrebah)  ou encore celles dans le contentieux à savoir l’assiette de GARGUETTA, celle de DAR EL ASKRI  et aussi celle des deux douches de la rue de soleil et de la rue de la fontaine romaine en attendant que d’autres litiges réapparaissent probablement.

Il est à noter que ces cas litigieux relèvent de mauvaises procédures administratives engagées par des commis de l’état en connivence avec des élus ne se conformant pas avec la réglementation en vigueur

O. Abbas