La voie principale reliant la Cité Adim Fatiha au quartier Larbi Ben Mhidi en phase de réhabilitation .

A l’instar de la voirie urbaine des autres cités  de la ville de Sidi Bel Abbes,  compte  la rue principale  Djouihel Boumediène axe reliant les deux faubourgs Larbi Ben M’Hidi ex Gambetta) à la cité Adim Fatiha (mâconnais) d’une distance de 800mètres connu par les riverains de la Mekerra   du « café Bouanad  confrontée depuis plusieurs années à une dégradation provocant des affaissements du sol  causant des désagrément aux  usagers de la route pendant plusieurs années, un phénomène devenu quasiment impossible à la fluidité, était à l’origine de plusieurs accidents de circulation voire mortel.

Outre la gêne, voire même la dangerosité de la situation  qui a duré trop longtemps, a attirée l’attention des responsables locaux  sur le fait de la rue Djouihel  qu’il est urgent de faire recours aux compétents du domaine des travaux publics à savoir le laboratoire national des travaux publics d’Oran (L.N.T.P.O.) en premier lieu  pour un sondage de l’état du sol  afin de déterminer les causes de l’affaissement et d’apporter des solutions à cette  nuisance .

En ce sens le chef de l’exécutif a chargé la direction de la D.U.C  de   l’opération de réhabilitation (maitre de l’ouvrage) en coordination avec la direction de l’O.N.A. le secteur de l’hydraulique, et  l’entreprise Star de la wilaya de Tlemcen  retenue à l’exécution des travaux de la chaussée entrepris depuis  deux semaines.

après sondages de l’état de la voie,  les premiers travaux de décapage  d’une profondeur de 1 mètre ont décelé ce qui était caché sous la couche du bitume (  le non respect du  corps de la chaussée est  à l’origine du problème, en termes techniques  les principales couches (fondation et sous fondation) ont dégradé la résistance mécanique que nécessite la chassée à répondre aux charges induites par la circulation cette pression du sol n’a pas assuré sa résistance et a causé des déformations.

Mais la majorité des habitants que nous avons rencontrée est de plus en  plus septique sur la durabilité et la qualité de ces travaux de rénovations. qui  s’avèrent  nécessaires pour soulager les usagers et par là même faciliter la commodité et la sécurité  aux usagers.

O.Rayan