27 septembre 2024

L’école Dahmani Mohamed  de Ras El mai, fait asseoir  les élèves  04 par pupitre.

S’agissant du devenir de nos élèves, « les femmes et hommes de demain », nous ne cesserons,  de porter à la connaissance de qui de droit,  les  mauvaises conditions, dans lesquelles, certain établissements  font dispenser un enseignement, à leurs élèves. Alors que pendant, cette rentrée scolaire, les  yeux étaient  dirigés  vers  des aménagements, non réalisées ou  pas encore terminés, nous  nous apprêtions à nous intéresser à leur restauration, qui devaient être bien  assurées à compter  du premier jour de la rentrée, mais voila, notre impossibilité de sortir de  l’auberge,  en constatant  qu il existe des élèves, qui étudient  dans de mauvaises conditions. C’est le cas de l’école « Dahmani Mohamed » de Ras El Ma qui selon  notre source et les photos  et les photos parvenus, elle continu en 2019, de  faire asseoir  04  enfants dans un même pupitre. C’est de l’impensable ! Mais c’est une réalité. Il va sans dire que le but  en  installant 02 enfants par pupitre, est  de leur permettre, une position confortable, pour  mieux se mouvoir et écrire aisément, mais à les  installer à 04, démontre tout simplement,  l’insuffisance  en immobilier scolaire, dans cette école, alors que dans  beaucoup d’école, il existe très souvent un surplus  de pupitre et de chaise non utilisable.

Pourquoi alors, que les  services concernés, ne s’attachent ils pas,  à récupérer les pupitres en surplus qui se trouvent ici et là  et  le dispatcher là ou se trouve un manque ? Pourquoi que les directeurs chargés de ces écoles ne font ils pas les commendes nécessaire en temps voulu ?   Comment expliquer ces  situations  de laisser aller dans nos écoles, que l’on  ne cesse de dénoncer pour diverses raisons, mais qui demeurent,  « lettre morte ? »

La construction de relations de confiance entre les parents et l’école,  ne peut que se  détériorer, en raison des difficultés que vivent, les élèves  en observant, des conditions imparfaites, alors que les solutions doivent être une  priorité de l’institution. A cet effet , que les responsables  de l’académie  et directeurs d’écoles sachent, que, demain, ce seront, ceux qui  auront souffert à l’école, en n’ayant pu  étudier comme il le fallait, qui  feront la description sévère de  leur école et de leur condition d’élève. Car  quand la scolarité s’effectue avec difficulté, très souvent  l’école,  produit des échecs et les répercussions sont plus importantes qu’on ne le croit dans la vie des individus, les hommes de demain.

Par K.Benkhelouf

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