mar. Jan 9th, 2024

Plaidoyer des échos pour le rétablissement de la peine de mort à l’encontre des assassins d’enfants: le meurtre de la petite chaima est le cas de trop.

Enlevée jeudi 20 décembre le soir vers 21h devant la porte de sa maison , le corps de la petite fille Yousfi Chaima âgée à peine de 8 ans a été retrouvé le matin du vendredi 21 décembre, inanimé au niveau du cimetière de Mahelma tout près de Zeralda, selon des indiscrétions non encore confirmées par les services de sécurité, le corps de la petite Chaima portait des traces de violence.
Pour la seule année 2012, quelques 36 cas d’enlèvement d’enfants fut enregistrés, 50.000 sont mal traités, 10.000 abusés sexuellement, 350.000 travaillent au noir, 20.000 sont livrés à eux-mêmes et 15.000 sont présentés chaque année devant les tribunaux, des chiffres qui donnent froid au dos et qui menacent les fondements mêmes de notre nation.
Durant les 10 derniers mois de 2012, quelques 1548 mineurs ont été victimes de délits multiples à travers 11 wilayas, c’est des cas essentiellement de coups et blessures volontaires avec usage d’armes blanches.
Pour le cas de la petite Chaima, il semblerait que l’auteur présumé de l’enlèvement suivi d’assassinat fut identifié et activement recherché depuis ce fatidique samedi soir, il s’agirait d’un jeune homme (encore un de plus) de 29 ans, issu du même quartier que la victime et qui semble avoir disparu dans la nature depuis la découverte du corps de la petite chaima.Le drame qui a touché chaima et sa famille doit nous interpeler tous afin de mettre un terme une fois pour toute à ce genre de criminalité qui nous est étranger et qui commence à prendre des ampleurs extrêmement graves.
L’état en tant que responsable direct de la sécurité des personnes et des biens est appelé en urgence à mettre en branle tous les moyens dont il dispose (y compris l’arsenal juridique) pour lutter efficacement contre ce véritable danger qui met en péril les fondements de notre société et donc notre nation.
Les services de sécurité seuls ne peuvent pas tout faire, car ce problème interpelle toute la société afin d’aider à ce que des mesures soient prises telles que la mise en place d’un plan d’alerte-recherche immédiat, comme cela se fait dans les pays développés soucieux du danger du phénomène.
Selon les statistiques fournies par les services de sécurité, les enlèvements se produisent le plus souvent dans des lieux où les constructions se font à une cadence soutenue et où il n’existe pas encore des postes de police, quant aux abus sexuels, la majorité des cas se produisent dans le milieu familial, c’est la raison pour laquelle le journal « les échos de Sidi-Bel-Abbès » à travers l’ensemble de son staff  a décidé à l’unanimité de dire « stop au massacre de nos enfants », et d’une seule voix interpelle l’état à réactiver la peine de mort à l’encontre des malfaiteurs coupables d’enlèvement , d’agression sexuelle et assassinat d’enfants, comme il souhaite vivement que les tabous concernant les abus sexuels contre des enfants en milieu familial puissent tomber afin de pouvoir leur apporter l’aide et le soutien (surtout psychologique) nécessaires, nous préconisons également que des mécanismes et des structures soient mis en place pour la prise en charge des enfants victimes de sévices et de mal traitements,  quant à l’état nous pensons qu’il serait plus profitable pour ces enfants qu’il doit regrouper toutes ses compétences (elles sont actuellement au nombre de 15) au sein d’une seule et unique structure afin de répondre au mieux aux besoins de cette frange de notre société.
Fouad. H
Les cosignataires sont :
1-    Semac  samia.
2-    O.  Abbes.
3-  K.Benkhlouf
4-  Abbes.B
5-  D. Missoum: « je suis cosignataire de la pétition Moi je préfère dire que l’état est interpellé pour réactiver les exécutions car la peine de mort n’est pas abolie du code pénal algerien .Ils sont plusieurs centaines de malfrats condamnés à la peine de mort dans les pénitenciers plus entretenus que les autres par une alimentation améliorée.Les exécutions sont suspendues depuis 1993 pour ne pas attirer les foudres des ONG des droits de l’homme .Le bourreau des enseignantes est condamné à mort à 2 reprises et il est toujours vivant.l’auteur du massacre de 7 personnes dont 3 enfants décapités à la hache à la cité sorecor en 2003 est toujours vivant sous le verdict de la peine de mort. « 
6-Mohamed Boudjakdji : « Le fait est que si nous avons la liberté de dire ce que nous voulons dans ce pays,nous n’avons pas la liberté de nuire intentionnellement à autrui.Cela est vrai que pour les autres libertés,vous avez le droit d’être frustré,triste ou en colère.Et vous avez la liberté de les exprimer de façon appropriée. Mais vous n’avez pas le droit de tuer d’autres personnes. Nous sommes libres de s’exprimer,de créer, de planifier et de travailler. Cet être sauvage a commis un acte horrible et péché contre l’homme et contre Dieu.C’est un acte de lâcheté; on ne sait ni pourquoi ni comment peut’on avoir l’idée de tuer des enfants innocents? Je ne sais pas,mais je sais que Dieu va sévir contre de tels crimes.Mais ici sur terre l’état est chargé d’appliquer la sentence dictée par le Bon Dieu, a savoir OIEL POUR OIEL ET DENT POUR DENT. »
7- M. Bousmaha
8-M.Kadri « J’ai déjà écrit concernant ce crime sordide et on doit appliquer la loi que les rois à l’époque de la renaissance  on écarteler les criminels sur la place publique fort possible que ça réveillera un peu nos ronds-de-cuir.Actuellement en algérie l’être humain ne vaut pas un radie, et je ne dois dire qu’on mérite ce qui se passe chez on dit amen à tout par conséquent il faut employer la loi du talion oeil pour oeil et dent pour dent, parce que il n’y a pas d justice et encore moins instance judiciaire tout part, tout fout le camp.Quelle calamité s’en prendre à des innocents ce qui veux dire qu’ils y’a des psychopathes parmi la population et il faut passer outre la justice à deux sous trouées:Il faut faire comme à l’époque du prophète (pssl) il faut qu’ils y aient des (Ali,des Omar aâlihom a salam) il faut faire le ménage, et je suis avec vous de tout coeur pour signer la pétition.
9Abbes . m: « Il ne faut pas laisser de circonstances atténuantes a ces odieux criminels.leur récompense est la peine de mort.car comment concevoir qu’un adulte puisse porter atteinte a des innocents sans défense  on doit les brûler comme jeanne d’arc et le mot est faible. »
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