7 novembre 2024

« Cheval au bord du précipice n’obéît plus aux rênes ». (Proverbe chinois.)

L’Égypte au bord du chaos économique, social, culturel, identitaire avec des apprentis sorciers comme Morsi et son maître spirituel et ‘serial-criminal-fatwiseur’ Qaradawi ne lui offrant comme perspective que d’aller faire le djihad contre la Syrie, l’un des 2 ou 3 derniers bastions du nationalisme arabe auquel reste attachée envers et malgré tout la majorité de l’opinion arabe.
Il n’est pas surprenant que le peuple dans son immense majorité, les forces vives de la nation et l’armée, ayant pris la mesure de la gravité de la situation, réagissent brutalement à cette dérive mortelle …. Quel que soit le prix à payer, car il sera moins élevé que le chaos programmé.
De plus, les Égyptiens ont l’exemple vivant de la Syrie restée debout malgré l’agression criminelle de toutes les puissances occidentales et leurs valets de la région.
À mon avis, Obama le serpent à sonnettes (*), Baroso le caniche, Ban Ki Moon le ‘nobody’ et cie, peuvent toujours froncer les sourcils et aboyer, l’Égypte n’écoute plus personne.
La perte de 1,5 milliard de $ d’aide agitée par le sénile sénateur Mc Cain, ami des rats et des cannibales, c’est du pipi de chat par rapport à toutes les pertes que Morsi a fait subir à l’Égypte en 1 an de règne.
Et il suffit à l’Égypte d’aligner le prix du gaz qu’elle vend à ‘zionistan’ sur les prix du marché pour compenser cette fausse aide.
Le mouvement « Tamaroud » ne va tarder aussi à s’étendre à la Tunisie – où déjà plus de 176 000 signatures ont été récoltées pour renvoyer Ghannouchi à son expéditeur britannique – et à la Libye où Tripoli a connu ses premières et timides manifestations anti milices armées ….pour le moment.
Et comme un signe, pour ceux qui croient à la science des signes, ils se sont réuni place ou rue …. d’Alger à Tripoli.
(*) Il devrait commencer par virer ses conseillers FM pour le Moyen-Orient dont aucun n’a peut-être jamais mis les pieds dans la médina du Caire et dont les horizons sont floutés par des barbes, des gandouras, des sandales et des grillages de ‘niqab’.

 Par Cheikh Si Mimoun

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